Château Léoville Barton 2018
3e Grand Cru Classé
CHF 118.00 TTC
Bordeaux, France
Rouge intense et puissant
82% Cabernet Sauvignon, 18% Merlot
AOC Saint-Julien
En stock
Un très très grand vin qui fait partie de nos coups de cœur depuis toujours.
RVF: 98
Yves Beck: 97
Le Point: 18.5
Anthocyanes: 96
René Gabriel: 19
Dégustation
Le nez est intense, expressif sur des effluves mentholées, épicées et de fruits noirs. En bouche, les saveurs de la myrtille et du cassis se révèlent et la pointe de poivre blanc vous surprendra. Les tannins sont délicats et veloutés. Le vin est droit, équilibré et sa puissance est exponentielle.
TerroirLe vignoble, est situé au coeur du terroir de Saint-Julien. Sur une des plus belles croupes de graves garonnaises, face à la Gironde, le sous-sol argilo-graveleux permet de réguler à merveille les aléas climatiques de l’année. Le labour est traditionnel, sans désherbage ni herbicide. Les vignes sont plantées majoritairement en Cabernet Sauvignon (74%), Merlot (23%) et Cabernet Franc (3%).
Accord met-vin
Spécialités françaises, gibiers, volailles.
Elevage
Entre 16 et 18 mois en fûts de chêne français, dont 60 % de fûts neufs.
Château Léoville Barton
Le château fut construit en 1758 avec la particularité de posséder sous les appartements privés, des chais de vieillissement sous forme de crypte voûtée où tout est silence et sérénité.
Après la Révolution Française, bénéficiant de l’abolition du droit d’aubaine en France, Hugh Barton, négociant irlandais en vins de Bordeaux, assouvira son rêve de devenir propriétaire terrien en achetant des vignes dans le Médoc. En 1821, Pierre-Bernard de Pontet cède la propriété « Langoa » à Hugh Barton, qui la renomme « Château Langoa Barton ». Bien avant le célèbre classement des crus classés de 1855, ce furent l’architecture, l’élégante façade et l’harmonie des proportions du bâtiment qui séduisirent Hugh.
En 1826, Hugh se porte acquéreur d’un quart de l’ancien domaine de Léoville, propriété dont l’éclatement est dû tout autant à la Révolution Française qu’à une succession complexe. En achetant ce qui deviendra Léoville Barton, Hugh acquiert uniquement des vignes, mais il n’avait pas l’utilité d’installations viticoles, possédant déjà celles de Langoa.
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